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Selon une étude menée par le groupe de recherche Belge Zorg rond het Levenseinde publiée le 25 mars 2019 dans la revue Acta Paediatrica. 60% des médecins néonatologues et 74% des infirmiers en néonatologie « estiment qu’il faut, dans certains cas, pouvoir mettre fin à la vie de ces nouveau-nés en leur administrant un produit mortel ».
« Personne ne veut qu’un bébé ne souffre. Moi non plus. Mais qui sait ce qu’est un handicap grave ? (…) Qui peut mieux juger de la qualité d’une vie avec un handicap que les personnes elles-mêmes porteuses de handicap? »
Aujourd'hui ce type d'euthanasie est autorisé seulement dans les Pay-Bas par le protocole de Gröningen.
« des nouveau-nés qui n’ont aucune chance de survie, de ceux qui ne peuvent continuer à vivre qu’à l’aide de soins intensifs, et de ceux pour lesquels on prévoit une qualité de vie très pauvre associée à d’intenses souffrances ».